Securite Routiere & Dossiers CNSR

Sécurité routière : des boîtes noires dans les voitures ?
 
Un enregistreur de données... pour juste déterminer les causes des accidents ou contrôler la vitesse ?
 
Objectif 2.000 tués d'ici 2020
 

 
Sécurité routière mois de maiManuel Valls souhaite développer un dispositif de boite noire pour déterminer les causes des accidents de voiture.
 
Suite à la conférence du Conseil National de la Sécurité Routière, le ministre de l'intérieur a annoncé vouloir équiper les véhicules d'une boite noire.
 
L'objectif est de connaître les évènements techniques précédents l'accident comme les accélérations, décélérations et la trajectoire. Ces informations n'auront pas pour vocation de faire un historiques des déplacements des conducteurs mais s'inscrivent dans la politique de l'État qui fait de la sécurité routière une de ses priorités.
 
Le système ne permettra pas de réduire directement le nombre d'accidents mais apportera des informations essentielles pour les comprendre comme le précise le constructeur Renault à l'Agence France-Presse :
 
 
Aujourd’hui ces paramètres ne peuvent être qu’estimés a posteriori. La présence d’enregistreurs dans les voitures serait un avantage certain pour la connaissance de la genèse des accidents et également pour le traitement des mises en cause.
 
Selon les spécialistes en la matière, cette boîte noire baptisée "enregistreur de données d'accidents" aurait une autre conséquence. Elle influe psychologiquement sur le comportement des conducteurs car ces derniers savent que l'ensemble de leurs faits et gestes sont enregistrés. Des voix s'élèvent déjà pour dénoncer une violation de la vie privée avec ce système capable de recueillir un grand nombre d'informations sur chaque individu... et naturellement les excès de vitesse.
 
L'objectif du gouvernement est toujours réduire le nombre de victimes d'accidents de la route à 2000 d'ici 2020 et tous les moyens seront mis en place apparemment pour tenir cet objectif même si les chiffres de la sécurité routière du mois de mai confirment une baisse continue de la mortalité de 29,5% par rapport à l'année dernière.
 
http://www.metronews.fr/info/securite-routiere-manuel-valls-imagine-des-boites-noires-dans-les-voitures-et-plus-de-radars-sur-les-routes/mmfu!GwRAwqHdIVLds/

CNSR : où l'on reparle du gilet fluo

La FFM s'oppose à l'obligation d'en posséder pour les motards

La Fédération salue en revanche l'harmonisation des tailles de plaques d'immatriculation



CNSR : où l'on reparle du gilet fluo à motoLe Conseil National de la Sécurité Routière du 21 juin a à nouveau ouvert le débat autour du gilet jaune, qui, en bonne éternelle arlésienne, revient toujours au premier plan lors des discussions.

Rendu obligatoire en 2011 avant de faire machine arrière, celui-ci est toujours d'actualité. Il a ainsi été proposé que les motards possèdent obligatoirement un gilet fluo, sans pour autant le porter en permanence, par mesure d'équité avec les automobilistes pour qui il est obligatoire d'en détenir un dans sa voiture. Une mesure plus facile à avancer qu'à appliquer : les automobilistes se doivent d'en embarquer un à chaque instant depuis plusieurs années.

La FFM s'est ainsi opposée à une telle proposition dans le vote qui a découlé de ces discussions. Pour la Fédération, tant qu'il n'est pas prouvé qu'une telle mesure puisse réduire le nombre d'accidents, cela ne justifie pas la contrainte d'une obligation.

Au contraire, l'harmonisation des tailles de plaques d'immatriculation a été bien accueillie par la FFM. Celle-ci concernera les cyclos, motos et tricycles à moteur. Enfin, la FFM ne s'est pas contentée de commenter a posteriori les débats du CNSR, interpellant le ministre sur une question essentielle pour les motards.

En effet, la mise en place de la circulation inter-files sur le plan législatif tarde. Or, un consensus semble s'être installé entre tous les acteurs du monde moto en faveur de cette manière d'évoluer sur la route. Une requête qui a été relevée lors du conseil. Entre cette prise de note et l'application en actes de cette avancée, il faudra cependant encore attendre un peu.

Côté automobile, les esprits grondent, à défaut des moteurs, avec l'arrivée possible de boîtes noires pour mieux comprendre les accidents, même si cela suscite bon nombre de questions sur la vie privée.


http://www.lerepairedesmotards.com/actualites/2013/actu_130624-cnsr-gilet-fluo-immatriculation-interfiles.php

Sécurité routière : 92% des deux roues tués sur la route sont des hommes

Les trois quarts des personnes tuées sur la route sont des hommes

Étude réalisée par MMA sur les chiffres de 2012

Sécurité routière et les deux rouesD'après l'étude de MMA 76% des personnes tuées sur la route en 2012 sont des hommes. L'assureur tente de connaître les causes de la prédominance masculine impliquée dans les accidents de la route.

En 2012, 3645 personnes sont décédées sur les routes de France et le gouvernement souhaite passer sous la barre des 2000 d'ici 2020. Parmi ces individus, les trois quarts d'entre eux étaient du sexe masculin. Ce constat est encore plus frappant mais plus facilement explicable dans l'univers des deux roues, où 92% des tués sont des motards (le monde du deux-roues étant constitué de 90% de motards contre 10% de motardes).

Les spécialistes tentent de répondre à ce phénomène et invitent les Français à participer au débat sur le site internet. Par ordre d'importance, les causes évoquées par les experts concernent la nature masculine, les hormones, les motos, les trajets, la vitesse, l'alcool, les téléphones portables et les autres.
Les principaux constats de cette étude

taux de mortalité deux roues en mai La conduite est une pratique virile et masculine où l'homme recherche la puissance et l'agressivité
Le taux de testostérone important chez les jeunes hommes influe sur leur conduite
Les femmes ont une conduite plus utilitaire avec des machines de plus petit cylindrée
Les femmes parcourent annuellement 20% de kilomètres de moins que les hommes
Dans un accident causé par une vitesse excessive l'homme est impliqué dans 75% des cas
Les hommes sont impliqués dans 92 % des accidents mortels où l’alcool est en cause
Seuls 10% des personnes s'estiment mauvais conducteur
95% des accidents sont causés par le comportement du conducteur

L'objectif de cette discussion est de trouver des solutions pour faire baisser la mortalité routière à travers les idées de l'ensemble des contribuables français. Alors, par quoi commence t-on, des routes moins dangereuses ? Plus de répression ? Une meilleure formation ? A vos claviers...
Pourquoi les hommes sont-ils plus impliqués dans les accidents ?

Sécurité routière accident deux roues (c) Léon Austen La nature masculine

D'une manière générale, la conduite est associée aux hommes qui adoptent un comportement viril alternant transgression, agressivité, témérité, égoïsme, orgueil et désir de puissance. Les femmes sont plus dans la retenue et la prudence.

Les hormones
Les jeunes conducteurs masculins commencent la conduite dans une période où leur taux de testostérone est multiplié par 14. Ces hormones allument un système de récompense lié au plaisir, donc à la prise de risques. Alors qu’une jeune conductrice est dans le registre de l’erreur et de la compréhension, les conducteurs sont dans celui de l’infraction, la vitesse, l'alcool ou cannabis.

Les motos
D'après l'étude, 75 % des personnes enfourchant une moto ou un scooter sont des hommes et cette catégorie d’usagers représente 25 % des tués de la route. Les femmes préfèrent les petits cylindrées qu'elles utilisent pour des déplacements urbains. On retrouve ici la différence entre la passion masculine et l’approche utilitaire féminine.

Les trajets
Les femmes parcourent 20% de kilomètres de moins que les hommes avec des machines moins puissances. Cela implique des accidents matériels de plus faible gravité.

La vitesse
Lors d'un accident où la vitesse est en cause, le responsable est un homme dans 75% des cas. D'une manière générale, la vitesse demeure l'élément central des infractions avec pertes de points. De plus, pour certains hommes, la vitesse est une passion et un réel plaisir. L'étude rajoute également, que les radars n'influent pas réellement sur leur comportement ...

L'alcool
Les hommes sont impliqués dans plus de neuf accidents sur dix causés par l'alcool. En général le taux dépasse les 1,5g/l de sang.

Les autres
D'après le sondage, seulement une personne sur dix estime qu'elle conduit mal, alors que 95% des accidents trouvent leur source dans le comportement du conducteur.

La connexion
Par ailleurs, les téléphones portables, tablettes perturbent la conduite et sont un problème croissant.

Périphérique parisien : l'ACA contre la limitation à 70 km/h

Le rapport coût/avantages des limitations de vitesse remis en cause

La mesure pourrait malgré tout entrer en vigueur dès l'automne

Périphérique parisien : l'ACA contre la limitation à 70 km/hLe Conseil de Paris a remis sur la table la question de la limitation de vitesses sur le périphérique de la capitale à 70 km/h. Celle-ci pourrait en effet être appliquée dès l'automne 2013, mais l'Automobile Club Association s'y oppose.

En effet, l'ACA reste dubitative face à un tel choix, rappelant que la fluidité de la circulation sur le périphérique force souvent les automobilistes à rouler en-deçà de la limite. Par ailleurs, les vitesses constatées lorsque la circulation est fluide sont, selon l'ACA, situées entre 75 et 78 km/h.

Quelles solutions alternatives pour la vitesse sur le périphérique ?

L'association préconise par ailleurs de changer de cap, proposant de tourner les efforts vers des systèmes de gestion de trafic en temps réel pour s'adapter à la circulation au cas par cas. Des systèmes d'aide au stationnement, qui, à Paris, est loin d'être limpide, ou encore des vitesses et signalisations variables sont ainsi évoqués.

De même, l'ACA estime que les programmes d'éco-conduite pourraient être une autre solution alternative, de même que le développement de la logistique urbaine. Derrière cette appellation se cache des solutions proposées aux poids lourds ou pour les zones de livraison.

Pour Didier Bollecker, Président de l'Automobile Club Association, l'automobile ne doit pas être la cinquième roue du carrosse pour envisager l'avenir de Paris, mais bel et bien comme un acteur des changements futurs.


La mobilité urbaine constitue un enjeu majeur pour l’avenir de Paris. L’enjeu consiste à trouver un équilibre permettant de répondre à l’ensemble des besoins urbains, tout en préservant la fluidité de la mobilité nécessaire pour répondre à ces besoins. Nous considérons que le nécessaire développement du transport collectif et des ‘modes doux’ ne doit pas se faire au détriment de l’automobile, mais en complément. Il faut se fixer comme objectif de combiner le meilleur des deux mondes, c’est-à-dire de rechercher à la fois une bonne accessibilité par la voiture et une bonne utilisation des autres modes, qui soit attractive en termes de réseau, de fréquence, de qualité et de sécurité.


http://www.lerepairedesmotards.com/actualites/2013/actu_130710-peripherique-paris-limitation-vitesse-aca.php

Sécurité routière : la mortalité en baisse sur le premier semestre 2013

Diminution de 15,1% du nombre de tués sur les routes

13.000 agents des forces mobilisés durant tout l'été

Sécurité routière : la mortalité en baisse sur le premier semestre 2013Présentés ce matin par le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, les chiffres de l'accidentalité routière du premier semestre 2013 montrent une nette tendance à la baisse. Sur les six premiers mois de l'année, le nombre de personnes tuées sur les routes est en diminution de -15,1% soit 257 vies épargnées par rapport au semestre 2012. Ces résultats encourageants ne sont néanmoins pas suffisants pour le Ministre qui rappelle que derrière les chiffres il y a des destins brisés.
Avec un objectif fixé à moins de 2.000 morts d'ici 2020, Manuel Valls ne compte pas se reposer sur les lauriers à la vue de cette baisse significative et entend bien poursuivre ses actions en faveur de la sécurité routière

L'été concentre 20% de la mortalité annuelle

D'ailleurs, avec la traditionnelle transhumance estivale et le chassé-croisé des vacanciers, le Ministre de l'Intérieur souligne qu'il faut rester vigilant puisque les mois de juillet et août ont constitué à eux-seuls pas moins de 20% de la mortalité annuelle sur ces trois dernières années.

Sécurité routière : la mortalité en baisse sur le premier semestre 2013Pour faire face à ce fléau, ce sont près de 13.000 agents des forces de l'ordre qui seront mobilisés sur les routes afin de multiplier les opérations de prévention et de contrôles. Leur présence sera en outre accompagnée du déploiement de plusieurs radars mobiles dits de nouvelle génération. 46 de ces appareils ont d'ores et déjà été livrés aux forces de gendarmerie et de police.
Il est en outre à noter que les conducteurs étrangers résidant un Union Européenne seront eux aussi dans le viseur des forces de l'ordre qui mettront essentiellement l'accent sur les infractions les plus graves tels que les excès de vitesse, non-port de la ceinture ou encore usage du téléphone au volant

La baisse de la mortalité non confirmée pour les deux-roues motorisés

Si l'on se penche plus en avant sur les chiffres, on remarquera que la baisse généralisée de la mortalité des motocyclistes enregistrée pour l'année 2012 ne se confirme hélas pas pour les deux-roues motorisés pour ce premier semestre 2013. Manuel Valls a fait part de sa préoccupation envers ces usagers qui constituent 23% des tués tout en représentant moins de 2,5% du trafic.

Pour sa part, le mois de juin enregistre une nouvelle baisse de la mortalité routière puisque 287 personnes ont perdu la vie en juin 2013 contre 322 l'an passé, soit une diminution de 10,8% et 35 vies sauvées.
Tous les autres indicateurs notent également une baisse avec un nombre d'accidents corporels passant de 5.597 en 2012 à 5.342 en juin 2013. Le nombre de personnes blessées est lui aussi en diminution avec 6.981 blessés en juin 2012 contre 6.647 pour le même mois de cette année.
Enfin, le nombre de personnes hospitalisées est également en recul puisqu'en juin 2012 ce sont 2.565 personnes qui ont dû être hospitalisées contre 2.404 cette année.

Sécurité routière : la mortalité en baisse sur le premier semestre 2013

10 personnes tuées par jour en moyenne

Chaque jour ce sont en moyenne dix personnes qui trouvent la mort sur les routes françaises tandis que 200 personnes s'y blessent, souvent grièvement. Véritable problème de société, la sécurité routière est devenu la priorité numéro 1 du Ministère de l'Intérieur qui multiplie les campagnes de sensibilisation et les actions de contrôles pour endiguer le phénomène et pouvoir présenter des chiffres toujours plus bas pour des caisses toujours plus remplies.

A n'en pas douter, l'été verra fleurir les radars, jumelles et autres agents de la paix sur les abords des routes françaises. La vigilance est donc de mise.


http://securite-routiere.gouv.fr/

Sécurité routière : la vitesse dans le collimateur de Manuel Valls
 
La vitesse en cause dans 26% des accidents mortels
 
100 nouveaux radars mobiles de nouvelle génération déployés chaque année
 
Sécurité routière : la vitesse dans le collimateur de Manuel VallsMalgré une baisse conséquente de la mortalité sur les routes de France au premier semestre 2013 avec un recul de 15,1% du nombre de tués, Manuel Valls a néanmoins rappelé que la sécurité routière était une priorité et que la vitesse restait hélas l'une des causes majeures des accidents mortels en France.
 
Le ministre a continué en affirmant que la lutte contre les excès de vitesse allait se poursuivre ces prochains mois avec le déploiement d'une centaine de nouveaux appareils de contrôle de vitesse.
 
46 radars de nouvelle génération déjà en service
 
Intervenant dans près de 26% des accidents mortels, la vitesse reste dans le collimateur du Ministre de l'Intérieur qui évoque plusieurs mesures pour lutter contre le phénomène. "Les comportements doivent changer" poursuit-il tout en annonçant le déploiement de cent nouveaux radars mobiles de nouvelle génération d'ici la fin de l'année 2013. 46 appareils ont d'ores et déjà été livrés aux forces de l'ordre dont 30 en Gendarmerie et 16 en Police.
Ces nouveaux dispositifs ont vocation à remplacer les premiers radars embarqués déployés entre 2004 et 2005 au rythme de cent équipements par an sur les trois prochaines années.
 
Sécurité routière : la vitesse dans le collimateur de Manuel VallsPour rappel, ces radars de nouvelle génération sont homologués pour pouvoir contrôler à la fois les mouvements des véhicules dépassant par la gauche le véhicule équipé du système ainsi que les véhicules arrivant dans les deux sens de circulation lorsque l'automobile banalisée se trouve à l'arrêt.
Ces nouveaux radars flashent avec une marge technique de 10 km/h jusqu'à 100 km/h et bénéficient d'une marge d'erreur de 10% au-delà.
 
15.000 contraventions pour les radars nouvelle génération
 
En service depuis le mois de mars, ces systèmes de contrôle automatisés ont déjà fait leur preuve puisque ce sont près de 15.000 contraventions qui ont été dressées. Chacun de ces équipements relève ainsi une moyenne de 35 infractions par jour. Une efficacité qui tend encore à s'améliorer dans les mois qui viennent puisque de nouveaux véhicules en seront équipés très bientôt. D'ailleurs, les usagers de la route ne devront plus seulement se méfier des traditionnelles Renault Mégane mais devront également rester vigilants à l'approche d'une Peugeot 208. D'autres modèles seront en outre étudiés par la suite.
 
Des mesures pour limiter la vitesse maximale autorisée
 
Sécurité routière : la vitesse dans le collimateur de Manuel Valls (photo : Sanef)Pourtant, il n'y a pas que les radars dans la manche du Ministre de l'Intérieur qui a évoqué sa volonté de réduire la limitation de vitesse sur les réseaux secondaires. Pour défendre sa position, Manuel Valls n'hésite pas à prendre l'exemple de son homologue espagnol qui, après avoir baissé la vitesse maximale autorisée, a constaté une diminution significative du nombre de tués sur les routes ibériques. Bien que le réseau routier et le trafic espagnols soient singulièrement différents du nôtre, l'Espagne a su passer au-dessous de la barre des 1.500 morts sur la route notamment après avoir abaissé la vitesse maximale autorisée.
 
De quoi donner de l'espoir au gouvernement français qui envisage sérieusement de réduire la vitesse sur les autoroutes ainsi que sur les réseaux secondaires. Des propositions de lois seront d'ailleurs émises dès cet automne sur ce sujet tandis que dès novembre prochains, les étrangers en situation d'excès de vitesse sur le territoire seront passibles de poursuites au même titre que les usagers de la route français.
 
Manuel Valls tente de convaincre les plus sceptiques en avançant qu'après chaque abaissement de vitesse, des résultats significatifs ont été enregistrés quant à la sécurité routière. Le Ministre a d'ailleurs poursuivi en donnant un avis favorable à la réduction de la vitesse sur le périphérique parisien qui devrait, selon lui, permettre une baisse de l'accidentalité notamment pour les deux-roues motorisés.

http://www.lerepairedesmotards.com/actualites/2013/actu_130711-securite-routiere-vitesse-valls.php

Ce qui me surprendra toujours ,l'état des infrastructures routières n'ai jamais mis en cause .
Quand on voit dans certains départements l'état des routes , pas de double glissières j'en passe et des meilleurs .
Il est bien facile de frapper toujours et plus facilement au portefeuille.
arrêtons de mettre la vitesse en cause et la cause de tout. On n'ai pas que des fous sanguinaires de la route

Perso je suis scandalisé par les propose de M. VALLS Qui veut réduire les limitations de vitesses.....on va où?!
Demain j'ai les moyens de partir de ce pays et bien ciao les amis et à jamais...... Faut pas déconner non plus....

Idem, c'est de pire en pire ce pays....

Allez on descend tous dans la rue , on continue à nous entuber un maximum , je ne sais pas si
vous avez remarqué mais l'essence a de nouveau augmenté et les grands surfaces nous font le coup
du prix d'achat chaque weekend .curieux non??????      

par contre la vaseline a baissé (peut-être parce que les volumes de vente ont augmenté...)

Hummmm de la vaseline......bonne déduction Raz

Sécurité routière : la fin de l'impunité en France et en Espagne

A compter du 1er août 2013

Conducteurs français et espagnols poursuivis pour les infractions relevées dans l'un ou l'autre des pays

Sécurité routière : la fin de l'impunité en France et en EspagneDestination prisée des vacanciers, l'Espagne voit chaque année défiler des milliers d'automobilistes et de motards durant les beaux jours estivaux. Des usagers de la route parfois prêts à commettre des excès de vitesse ou des franchissements de feux rouges afin d'arriver plus rapidement à destination et ce en toute impunité... jusqu'à aujourd'hui. Car si la France avait déjà annoncé la fin de l'impunité des usagers de la route étrangers sur le territoire français, il en sera désormais de même pour les contrevenants français au sein du territoire ibérique.

La France et l'Espagne ont en effet décidé de mettre fin à l'impunité des conducteurs de véhicule immatriculé en Espagne et qui seront flashés par des radars français ou réciproquement.

Ainsi, à compter du jeudi 1er août 2013, les ressortissants espagnols et français qui commettront des infractions routières sur le territoire de l'autre pays seront poursuivis.

50% des infractions relevées en été sont dues à des conducteurs étrangers en France

Sécurité routière : la fin de l'impunité en France et en EspagneEn France, chaque année environ 25% des infractions relevées par des appareils radar et plus de 50% en période estivale, correspondent à des véhicules immatriculés à l'étranger alors que ceux-ci ne représentent que 5% du trafic.
Ainsi, en 2012, près de 450.000 infractions constatées par les radars automatiques français concernaient des véhicules immatriculés en Espagne.

De leur côté, les radars automatiques espagnols ont constaté cette même année 2012, environ 130.000 infractions commises par des conducteurs de véhicules immatriculés en France.

Désormais, les conducteurs espagnols flashés par les radars français seront poursuivis au même titre que les usagers de la route français qui seront poursuivis pour les excès de vitesse et franchissement de feux rouge commis sur le territoire espagnol.

Somnolence : plus de risques à 1 et 13 heures

Des avertissements sur les navigateurs/avertisseurs pour les usagers en cas de somnolence

Plus d'infos recueillies sur la fatigue au guidon/volant

Somnolence : plus de risques à 1 et 13 heuresL'information fait son chemin : l'hypovigilance est un danger majeur sur la route au même titre que l'alcool, plus que la vitesse par exemple. La sécurité routière fait état d'un accident mortel sur 3 sur autoroute dû à la fatigue. Coyote, qui commercialise des avertisseurs capables d'avertir les automobilistes en cas de somnolence, dispose de statistiques sur les heures où la somnolence se manifeste le plus.

Le système Prévention Somnolence, breveté par la firme, a donc rendu ses premières constatations basées sur 100.000 utilisateurs entre le 1er février et le 30 juin. Si la somnolence est relevée tous les jours, le lundi, le vendredi et surtout le dimanche sont les journées les plus risquées.

Les heures où le système s'est déclenché sont également très diverses. Sans surprise, c'est la nuit que le système a été le plus sollicité, avec 25% de risque à 1 heure du matin. En journée, un pic de risque à 13 heures s'est manifesté, la tranche 12 heures à 16 heures étant la deuxième période à risque en journée.

Comment le système se déclenche-t-il ?

Pour mieux comprendre le dispositif Prévention Somnolence, il faut connaître les facteurs qui le déclenchent. Les variations de vitesse et de direction, l'heure et la durée du trajet permettent d'établir un premier diagnostic. L'avertisseur se met alors à interroger le conducteur, lui demandant par exemple s'il ressent des signes de fatigue (paupières lourdes, nuque raide, par exemple). En fonction des réponses, le GPS se paramètre à nouveau pour une halte sur l'aire la plus proche.

En moyenne, 10.000 alertes somnolence se manifeste par semaine dans les habitacles des automobilistes équipés de ces GPS. Un dispositif qui n'exempte pas les précautions d'usage maintes et maintes fois répétées : conserver un habitacle frais, réaliser des pauses régulières, passer le volant ou le guidon si possible, etc.

Campagne "Changeons de regard sur les Motards"

Une campagne de publicité pour gommer les stéréotypes

Opération conjointe de la CSIAM, la FFM, la FFMC, le CNPA et la FNCRM



Changeons de regard sur les Motards

La CSIAM met en place une campagne de communication ayant pour mission de mettre en avant une image objective des motards, loin des habituels clichés utilisés par les pouvoirs publics.

Baptisée "Changeons de Regard sur les Motards", cette campagne bénéficie de l'engagement de nombreux acteurs du secteur moto que sont la FFM, la FFMC, le CNPA et la FNCRM.

Thierry Archambault, Président Délégué de la CSIAM et Éric de Seynes, Président de la branche Motocycle :

Nous souhaitons dépasser les clivages et sortir des stéréotypes en renforçant le dialogue avec les Pouvoirs Publics. Sur de nombreux sujets, la filière 2/3 RM a des solutions pertinentes à proposer. Elle répond ainsi à un besoin essentiel de mobilité, joue un rôle positif méconnu en matière d’environnement, fait des efforts considérables dans le domaine de la sécurité et permet à des millions d’usagers de vivre leur passion. Autant d’éléments majeurs pour notre économie.

Sur le site de cette opération, on rappelle que l'objectif est de gommer "ce décalage entre la réalité et le discours anxiogène des pouvoirs publics [...[ En faisant valoir sa propre interprétation des chiffres, sa propre analyse des faits et du secteur."

Cette campagne met ainsi en avant les comportements des utilisateurs de deux-roues motorisés réellement constatés comme l'importante baisse de la mortalité ou le nombre croissant d'utilisatrices.

Dans le cadre de cette action, un sondage a été réalisé par Opinion Way pour détailler l'ensemble de ces comportements. Il est disponible dans son intégralité sur le site dédié.
Plus d'infos sur les campagnes de publicité sur les motards

http://www.changeonsderegardsurlesmotards.com/

Jolie campagne.........

 

 

le vieux photomontage du casque et des gants en arrière plan, ils n'ont pas de sous pour faire de vrais photos?!!

6 propositions pour la sécurité des motards

Normalisation des équipements du pilote et de la moto, légalisation de l'interfile, éclairage dédié...

Axa Prévention et Club 14 interpellent les pouvoirs publics



6 propositions pour la sécurité des motards

AXA Prévention et Club 14 publient 6 nouvelles propositions visant à améliorer la sécurité des usagers de deux-roues motorisés. En 2005, 14 premières propositions avaient vu le jour avant d'être défendues devant les autorités gouvernementales et appuyées par de nombreuses actions.

L'association tient à rappeler que la mortalité des usagers de deux-roues motorisés représente toujours 23% des décès sur route alors que cette catégorie ne représente que 2,5% du trafic français selon certaines sources tout en considérant qu'il y a 4 millions de deux-roues sur 40 millions d'automobilistes.

Les 6 propositions d'Axa Prévention

1 - La normalisation des équipements de protection du motard

L'assureur préconise le port d’un équipement adapté et visible qui respecte les normes CE dédiées aux équipements de protection individuels (EPI). Cet équipement doit comprendre non seulement un casque, mais également a minima, des gants, un blouson renforcé et des chaussures montantes.

2 - La normalisation des équipements de la moto

Dans 38% des accidents liés à une perte de contrôle, un ABS sur les deux-roues motorisés aurait pu jouer un rôle favorable, si ce n’est éviter l’accident (Source CERTU). Le niveau de sécurité active et passive pour les motos n’a pas encore atteint celui des autres véhicules, même s’il se généralise progressivement sur les motos neuves. L’ABS sera en effet obligatoire à partir de 2016 pour les plus de 125 cm3. Une étape supplémentaire pourrait être le développement des systèmes d’anti-patinage.

3 - Un éclairage dédié aux deux-roues motorisés

Dans plus de 70% des accidents entre un deux-roues motorisé et une voiture, l’automobiliste n’a tout simplement pas vu le deux-roues (Rapport MAIDS). L'assureur propose de donner aux automobilistes les moyens d’identifier plus facilement les deux-roues motorisés par un éclairage particulier ou additionnel, vert ou orange. En complément, ils rappellent qu’il est préférable de porter des vêtements les plus visibles possibles par tous les temps.

4 - L’autorisation de circuler entre les files

Les associations proposent que la circulation inter-file soit adoptée sous certaines conditions à définir, telle que la vitesse limite entre le motard et le flot des automobilistes. Dans le prolongement de la Mission Guyot au cours de laquelle les deux associations avaient été entendues, cette proposition est actuellement à l’étude par le CNSR, pour une expérience à grande échelle dans certaines villes de France.

5 - La prise en compte des deux-roues motorisés dans l’aménagement urbain

Des dispositifs de retenue comme des glissières moto-rail ou des surfaces granulées sur les bandes blanches assurent une sécurité plus importante au motard. Il serait utile de les généraliser. De plus, l'assureur ont alerté les pouvoirs publics et les collectivités locales afin de créer et d’aménager des espaces supplémentaires de stationnement motos sur la chaussée ou des trottoirs pour répondre à l’augmentation croissante du nombre de deux-roues.

6 - Formation et puissance adaptées au niveau d’expérience

L'assureur demande que l’accès au nouveau permis A par les détenteurs du permis A2, entré en vigueur en janvier 2013, s’accompagne d’un apprentissage sur une infrastructure adaptée type circuit. Pour chaque type de véhicule (motos sportives, 3 roues), une formation spécifique est nécessaire.

Enfin, il serait utile que le programme d’obtention du permis B intègre un module de sensibilisation aux spécificités de circulation des motos et scooters. Le Baromètre AXA Prévention 2013 sur le « Comportement des Français au volant » révèle en effet que 90% des automobilistes n’utilisent jamais de deux-roues motorisés.

http://www.axaprevention.fr/points-vue-experts/pros-moto/Pages/default.aspx

Je suis d'accord pour ses propositions mais pour généraliser l'idée on peut toujours abaisser la tva sur un certain montant ou abaisser les primes ou encore réduire la franchise pour inciter à les porter...

Et pour la peinture on sait très bien que cela a un coût et dans les communes on ne s'embête pas avec la sécurité, un coup de peinture blanche bon marché et basta........


Pour les feux, on peut mettre un gyrophare, n'epêche tant que les conducteurs ne feront pas gaffe, cela ne changera pas grand chose... donc investissez dans des équipements....  

 

Sécurité routière : roulage motos et scooters avec la préfecture de police

Ateliers théoriques et pratiques et un parcours routier de 100 km

Le samedi 26 octobre à partir de 7h30 au Centre Régional de Formation de Paris

La préfecture de police met en place une opération de prévention sur la conduite des deux-roues motorisés à Paris. Cette journée a pour objectif de sensibiliser les actuels et futurs motards à la formation, aux équipements de protection ainsi qu'aux gestes qui sauvent.

Cette journée gratuite est ouverte à tous sur simple inscription par mail mais les places sont limitées pour le roulage/balade de l'après-midi.

La journée se découpera en deux parties avec des ateliers et activités théoriques le matin et un parcours routier l'après-midi.

La matinée se déroulera au centre régional de formation de Paris où seront proposées deux pistes de maniabilité lente et freinage, un stand sur l'angle mort, un stand d'un médecin du SAMU et sa moto médicalisée ainsi qu'une intervention de rappel sur les règles de sécurité et le code de la route. L'accès sera possible dès 7h30.

Le parcours routier de l'après-midi s'effectuera sur une centaine de kilomètres et sera encadré par des policiers de la brigade motocycliste. Attention, le nombre de places est ici limité à 80 participants. Pour participer, il faut bien évidemment être titulaire du permis A ou du permis 125.

Disponibilités / Prix
Matin : 7h30
Centre régional de formation de Paris
Rue de l'école de Joinville
75012 - Paris
Après-midi : 13h30
Inscriptions obligatoires
80 places disponibles

http://www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr/Actualites/Prevention/Securite-Routiere-un-parcours-pour-motos-et-scooters-samedi-26-octobre

Sécurité routière : la vitesse bientôt réduite à 80km/h

Un rapport confidentiel du CNSR récemment dévoilé

450 vies seraient épargnées grâce à une vitesse réduite de 10km/h

C'est devenu l'objectif numéro 1 de Manuel Valls et de la Commission Nationale de la Sécurité Routière ; faire passer le nombre de tués sur les routes en-dessous des 2.000 morts par année d'ici 2020. Pour y parvenir, Armand Jung, président du Conseil National de la Sécurité Routière a commandé des recommandations en matière de sécurité routière auprès de quinze chercheurs réunis en "Comité des experts du CNSR". Dans un rapport confidentiel récemment révélé, ces experts préconisent la réduction de 10km/h sur le réseau routier secondaire.
2.800 morts d'ici 2020 ?

Ainsi, le traditionnel panneau limitant la vitesse à 90km/h pourrait bientôt être remplacé par une signalisation indiquant une vitesse maximale autorisée de 80km/h. Pour asseoir cette recommandation, les experts avancent que si d'ici 2020 aucune mesure nouvelle n'est prise en matière de sécurité routière, le nombre de morts ne pourra pas descendre sous les 2.800 selon leurs estimations. On serait donc encore loin de l'objectif fixé par le CNSR.

Sécurité routière : la vitesse bientôt réduite à 80km/hDans cette optique, la mesure la plus efficace pour réduire la mortalité routière serait pour eux une réduction de la vitesse maximale autorisée sur les routes nationales, départementales et communales. Avec une limitation à 80km/h, les experts estiment que près de 450 vies pourraient être sauvées chaque année contre 200 si l'application ne concernait que les zones dangereuses.
L'élimination des obstacles aux abords des routes

Dans un rapport rédigé par des experts du CNSR, d'autres mesures sont envisagées dont l'élimination des obstacles présents aux abords des routes à l'instar des arbres, murets, poteaux et autres fossés. Ces derniers se retrouvent en effet impliqués dans pas moins de 1.370 décès au cours de l'année 2012.

Malheureusement, rien ne sera fait pour les motards puisque des glissières de "sécurité" serviront à isoler ces obstacles si ceux-ci ne peuvent pas être éliminés. Quoi qu'il en soit le rapport prévoit une réduction du nombre de tués par an entre 120 et 270 personnes.
Des éthylotests anti-démarrage à l'étude

Sécurité routière : la vitesse bientôt réduite à 80km/hParallèlement, la question de l'alcool au volant revient en ligne de mire du CNSR au sein du rapport avec l'évocation de la mise en place d'éthylotests anti-démarrage dans certains cas bien précis. Les jeunes conducteurs pourraient bénéficier de ces éthylotests contre une réduction de leur prime d'assurance ou bien en tant qu'alternative à la sanction pénale lors d'un contrôle positif à plus de 0,8g/l ainsi que pour les récidivistes.

De leurs côtés, les contrôles de vitesse radar seront encore intensifiés ainsi que le déploiement de nouveaux appareils sur le territoire comme l'avait indiqué Manuel Valls lors de la présentation des chiffres de la mortalité routière pour le premier semestre 2013.
Les réactions face aux propositions

Les réactions face aux révélations de ce rapport ne se sont pas fait attendre puisque Chantal Perrichon, président de la ligue contre la violence routière, se dit très favorable aux mesures évoquées par les experts. Elle affirme en outre sa volonté de voir la limitation de vitesse étendue à l'ensemble du réseau départemental et non seulement aux zones dites dangereuses puisqu'il n'existe pas, selon elle, de zones dangereuses, le danger étant présent partout.

Pour sa part, Pierre Chasseray, délégué général de 40 millions d'automobilistes s'y montre opposé.

Quoi qu'il en soit, les propositions des experts seront discutées en novembre par les membres du CNSR.

83% des Français pour des révisions du code de la route

77% favorables à des contrôles médicaux pour les Seniors



83% des français pour des contrôles du code de la route

La France compte près de 8 millions de titulaires du permis de conduire de plus de 65 ans. Selon les estimations, ce nombre devrait passer à 12 millions d'ici 2050. Cependant, la France ne dispose d'aucun système permettant d'évaluer les connaissances du code de la route, à l'inverse de certains voisins européens.

Cette situation peut en effet paraitre problématique lorsque l'on s'attarde sur l'évolution du trafic et des règles de conduite ou simplement de l'évolution du nombre de panneaux de signalisation routière. Alors qu'il évolue constamment, le code de la route ne nécessite pourtant aucun rappel. C'est en tout cas l'avis donné par le Sénat en juin dernier.

Une étude menée par l'IFOP* pour Sélection du Reader’s Digest et MMA montre de son côté que les Français ont un avis différent sur la question.

Des révisions obligatoires sur le code

Les résultats de cette étude montrent que 95% des personnes sondées estiment avoir une bonne connaissance du code. Ils sont 83% à penser que les conducteurs devraient le réviser régulièrement. 52% des personnes opteraient pour un examen tous les 5 ans et 30% pour un tous les 10 ans.

Attention, ils souhaitent toutefois une formule qui ne serait pas contraignante. Ainsi 59 % des interrogés voient cette révision possible à domicile via Internet et ils sont 46% à plébisciter une révision sous la forme d'un stage en auto-école.

Le contrôle médical des seniors

Lors de cette étude, 77% des personnes sondées se sont dites favorables à l'instauration d'une visite médicale obligatoire pour les seniors qui conduisent. Si ce pourcentage diminue avec l'âge, ce sont tout de même 60% des plus de 65 ans qui seraient en faveur de ce contrôle.

Par ailleurs, les Français interrogés ont majoritairement indiqué que l'avis du médecin devait rester consultatif et ne pas entrainer de suspension de permis (58%).

Enfin, concernant l’avis rendu par le médecin lors de cette visite, les Français sont majoritairement pour qu’il soit simplement consultatif (58 %) et non exécutoire, entraînant le retrait immédiat du permis. Assez logiquement, 73 % des plus de 65 ans soutiennent ce choix.

* Etude réalisée du 28 au 30 août 2013 auprès d’un échantillon de 1006 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (système CAWI)


http://zerotracas.com/index.htm

J'ai une idée pour porter le nombre de tués à 0, ils suffit de baisser les vitesses à 30km/h de partout, ville, autoroutes.

Pour la visibilité des motards, interdire aux véhicules de rouler en code ou plein phare

Fastoche de trouver des idées pourries, je devrait aller dans la politique  

Les équipements de protection bientôt obligatoires ?

Signature d'une charte collective contre l’insécurité routière des deux-roues motorisés

FFMC, FFM, CSIAM, Sécurité Routière, CNSM, FNCRM, CNPA, Gema, Assureurs Prévention et Club14


La Sécurité routière et toute la filière deux-roues motorisés s'engagent dans une action commune destinée à favoriser le port d'équipements de protections individuelles.

Frédéric Péchenard, délégué interministériel à la sécurité routière et Thierry Archambault, président-délégué de la CSIAM, signeront ainsi une charte à l'occasion du Salon de la Moto de Paris.

La Sécurité routière et la filière deux-roues motorisé s'engagent, ensemble, dans la lutte contre l'insécurité routière des usagers de deux-roues motorisés. Dans ce cadre, chacun contribuera à inciter, promouvoir et favoriser auprès des usagers de cyclomoteurs, scooters, motocyclettes, tricycles et quadricycles non carrossés, l'acquisition et le port de vêtements munis de protections individuelles.

Parmi les représentants du secteur moto, on retrouve toutes les principales instances et fédérations comme la FFM, la FFMC, la CNSM ou encore la FNCRM et le CNPA. Les assureurs également se joignent à cette initiative avec GEMA Prévention, Club 14 et les Assureurs Prévention.

Baisse de la TVA sur les équipements ? Réduction du prix des assurances pour les pilotes équipés ? Obligation du port d'EPI ? Pour l'heure, cette charte reste encore aux contours imprécis... jusqu'à sa présentation officielle et en détail mardi prochain sur le salon de la moto de Paris.

http://www.lerepairedesmotards.com/actualites/2013/actu_131128-charte-equipement-protection-obligatoire.php